présentation de Vultsi Kunègos [terminée]

Présentation de votre Personnage:

Nom: Kunègos (du grec « chasseur »)
Prénom: Vultsi (du bulgare « loup »)
Surnom (facultatif): ses semblables l’appellent « le Bestial ».
Age (L'immortalité est interdite): 27 ans d’apparence
Clan: Vampire

Pouvoir / Arme:

Armes : une épée longue appelée « Sangsue », qui absorbe le sang ennemi pour se réparer. Vultsi possède également deux Griffes de Kaiser : deux gants de métal dont les griffes rétractables par un mécanisme simple et solide sont en argent renforcé. L’argent des griffes empoisonne les Lycanthropes, rendant le combat à mains nues dangereux pour le Peuple de l’Ombre.

Pouvoirs : le Bestial sait se transformer à sa guise en vampire, peut se montrer discret et sait pister. Entre autres, il est doué pour le combat à mains nues et le maniement de Sangsue. Cependant, il ne sait pas vampiriser, ce qui constitue une honte pour lui.

Caractère (4 lignes minimum): Bestial… Simplement parce que ses émotions passent avant la réflexion ! Barbare envers ses ennemis, il ne montre du respect qu’envers sa dominante en qui il voit une divinité suprême, et ne respecte sa nourriture qu’en présence d’autres êtres vivants. Il est impitoyable, et n’a jamais renoncé à un projet pour massacrer ceux qu’il déteste, excepté si Isabella en personne s’interpose. Il n’a pas la grâce ou la noblesse que peuvent dégager ses compatriotes, et est souvent méprisé par eux, du fait de sa violence. Vultsi boit le sang de ses victimes vivantes quand leur cœur bat au maximum. Pour cela, il les torture.

Physique (4 lignes minimum): Vultsi Kunègos est blond aux yeux bruns. Loin d’être amical, son visage crispé et son allure féroce montrent le reflet de la noirceur de son âme. Il est bien plus musclé que la moyenne chez les vampires. Front bombé, poings énormes, face solide comme du chêne, torse dur et costaud, jambes taillées pour la course et l’endurance, le Bestial mérite son nom : son manque flagrant de grâce et de subtilité tant dans sa démarche qu’au combat ont amené ses semblables à l’éviter. Une série de cicatrices balaient le côté gauche de son visage, souvenir macabre d’une terrible bataille.

Histoire (8 lignes minimum):


La mère du Bestial n’avait pas reçu les gènes dominants pour devenir une vampirella ; son mari, quant à lui, était un bûcheron humain des plus normaux. Ils vécurent ensemble pendant une dizaine d’années, le temps que la mère tombât enceinte… Elle connaissait ses origines, et était terrifiée à l’idée de ce qui pourrait grandir en elle, déchirant ses entrailles. Lui ne savait rien, et était complètement fermé à ces histoires délirantes de buveurs de sang frais.
La grossesse de la jeune mère durant 13 mois. Les parents, inquiets à juste titre et pour la mère et pour l’enfant devinaient que le bébé n’était pas… Normal. La mère pleurait seule, sachant enfin que le fruit de leurs amours était une anomalie de la nature, une monstruosité. Cependant, elle aimait son enfant. Quand il naquit enfin, son père découvrit les canines démesurées de son fils. Horrifié, il frappa au sang sa femme et la quitta pour de bon. Elle, blessée, meurtrie au corps et à l’âme, ne sachant comment nourrir le monstre affamé qu’elle chérissait, elle décida de le déposer non loin du Manoir Havanna où elle était née. Elle traversa les Terres Vampiriques sans rencontrer d’opposition ; mais la naissance l’avait tuée d’avance : une mortelle hémorragie interne sapait ses forces les unes après les autres, et elle mourut, le vampire dans ses bras, au pied du magnifique manoir. Heureusement pour l’enfant orphelin, il fut recueilli par un vampire qui le prit pour fils, le baptisant « Vultsi Kunègos », ou « chasseur de loups » en langues oubliées des hommes. La guerre entre Lycanthropes et Vampires faisant rage, un tel nom fut jugé plus qu’approprié…


La jeunesse de Vultsi se déroula en grande partie dans les montagnes du Voldo, où le domaine du noble vampire, qui se faisait appeler Bélial, résidait avec ses six fils naturels. Le vampire riche et érudit qu’était Bélial cultivait des champs de plantes herbacées aux feuilles vertes profondément dentées, haute de trois mètres de haut. Bélial les cultivait avec amour, et en récoltait le jus, qu’il mélangeait à de l’argent pilé. Quand Vultsi lui demanda de quoi il s’agissait, Bélial répondit avec un sourire carnassier:

-C’est de la cigüe, fils. Un poison qui paralyse les muscles de celui ou celle qui le boit. Je rajoute de l’argent pour que ces chiens de lycans, qu’ils soient maudits jusqu’au dernier, souffrent. L’argent leur brûle les veines, et les déconcentrent.

Vultsi apprit par la suite la raison de cette haine vorace : Bélial avait perdu sa femme et ses filles durant un raid terrible des loups-garous. Le pauvre vampire en avait eu le cœur brisé pour le reste de sa morne vie. Ses fils, Vultsi compris, furent élevés dans la haine profonde envers les meutes lycanthropes. Bélial forma ses enfants dans l’art de la guerre, leur apprenant à pister les loups, à être plus discrets qu’eux. Certains des fils apprirent également l’art délicat de la torture ou le maniement de l’arc. Vultsi, quant à lui, perfectionna son combat à mains nues et l’utilisation de l’épée à une main.
Quand ils furent en âge de porter utilement les armes, Bélial leur annonça la nouvelle tant espérée : ils allaient tuer du lycan.


Un éclaireur lycanthrope avait été repéré par les serviteurs de Bélial. Un nouveau raid se profilait donc, composé d’après lui de neuf jeunes lycans, eux aussi des « bleus ». Pour fêter les premières armes des sept fils de Bélial, ce dernier leur donna un nouvel arsenal : ainsi, Vultsi récupéra Sangsue, et les deux gants de Kaiser. Sangsue était une épée à la lame d’un noir brillant et d’un manche en fer sombre, qui volait le sang de sa victime, l’affaiblissant tout en réparant l’usure de l’épée. Les Griffes de Kaiser étaient composés de plaques de fer argenté recouvrant l’épaule, l’avant-bras et le bras ; les paumes des gants étaient faites du même métal, l’intérieur des mains étaient en cotte de mailles, et les doigts, de fer. Les griffes sortaient par un mécanisme activable par un rapide mouvement des pouces sur l’intérieur des articulations des doigts, et se rétractaient par un mouvement inverse. Les griffes étaient en argent pur, et leur utilisation en combat à mains nues se révélait mortelle contre les loups-garous.
Bélial emmena ses fils en embuscade pour tendre un piège contre les envahisseurs ennemis. Au bout d’une longue attente, Bélial et ses assassins fondirent sur le groupe, surpris. Parmi les dix lycanthropes, seul un, le chef, était un vétéran. Le combat fut aussi féroce que bref : Bélial décapita l’un après l’autre de son épée à deux mains deux d’entre eux, tandis que chacun de ses fils s’occupaient des autres. Le chef ennemi tua un des leurs, et attaqua Vultsi qui dégagea sa lame du corps ensanglanté de son adversaire. Un duel, deux sabres courbés contre épée à une main, se déclencha ainsi. Bélial, qui avait confiance en son fils le plus prometteur, ordonna aux survivants de sa progéniture de laisser Vultsi finir le combat. Le vétéran était fort et rusé, mais son âge avancé l’handicapait. Le jeune vampire fit tomber une des deux lames ennemies, mais le chef fit de même d’un mouvement de poignet bien placé. Désarmé, Vultsi arma ses Griffes pour se lancer dans un corps-à-corps sauvage contre son adversaire. Celui-ci ne put esquiver longtemps les coups rapides du vampire : une violente gifle lui raya le visage, le faisant perdre un œil. Hurlant sa rage, le chef devint loup et tenta de mordre à la gorge Vultsi. Mais ce dernier parvint, à force d’esquives, frappes au visage et parades de ses Griffes, à récupérer Sangsue, qu’il put enfoncer lors de l’ultime charge du loup-garou dans le cœur de la bête. Le chef mourut sur le coup, et redevint un humain.


Dès lors, Vultsi remplaça Bélial comme chef du groupe, bien que son père adoptif restât leur professeur et conseiller à tous. La perte du fils de Bélial fut remplacée par trois autres vampires, fils d’amis de Bélial ayant reçu le même entraînement ou presque. Avec une telle équipe, ils purent lancer eux aussi des raids en territoire lycanthrope. Avec la cigüe, les assassins vampires empoisonnèrent les cours d’eau proches de villages lycans, provoquant la mort de nombre d’entre eux, et les survivants tombèrent sous leurs flèches et leurs épées. Les dix vampires semèrent la mort avec une efficacité redoutable dans la forêt, malgré les traques et les pièges effectués contre eux. Rares étaient les morts dans le groupe, qui écumaient la région, détournant les cours d’eau pour noyer, empoisonnant pour rendre malade, piégeant pour blesser, brûler pour semer la panique parmi leurs victimes.
Leur fait d’armes le plus remarquable en violence et en intensité fut l’assaut d’une communauté importante de lycanthropes, grosse d’une quarantaine d’individus. Bien que surélevée du fleuve en cas de crue trop importante, la meute dépendait de ce seul cours d’eau. Le groupe, sous la direction de Vultsi et les conseils de Bélial, déversèrent deux barils de jus de cigüe, après avoir massacré la faible garde loup-garou. Deux heures plus tard, les douze –le groupe grossissait grâce à leur influence- assassins descendirent dans un village mort : les femmes, nourrissons et vieillards étaient déjà presque tous morts, et les hommes agonisaient. Vultsi et ses amis fondirent sur les non-contaminés, largement inférieurs en nombre. Une fois le dernier décapité, Vultsi et ses vampires vidèrent comme des poissons tous les adultes qui n’étaient pas encore morts, sauf une jeune lycane, qu’il crucifia sur un arbre. Il ordonna à ses hommes de la tenir fermement, puis utilisa un doigt de sa griffe droite pour graver dans la chair lycanthrope : « Chiens, fuyez devant vos maîtres ». Puis, il brisa la nuque à la torturée. Il fit pendre les bébés survivants aux arbres, puis brûla la communauté. Après ces actes atroces, il fut nommé « le Bestial » par ses compatriotes.


Après des années de meurtre et de destruction, Vultsi Kunègos apprit avec joie la mort de l’ancien chef lycan, assassiné par un de ses amis. Vultsi était persuadé que la guerre cesserait et que les lycanthropes abandonneraient une guerre perdue d’avance, grâce à lui pensait-il. Hélas, un obstacle l’empêchait d’atteindre la victoire. Un obstacle de la taille d’un nouveau chef, Leodys. D’après les informations et rumeurs la concernant, elle était très jeune, et, étant la fille adoptive du grand Darius lui-même, effondrée par la mort de celui-ci. Le Bestial était convaincu que sa jeunesse la gênait pour régner, puisqu’elle manquait d’expérience. Vultsi ordonna à sa bande désormais forte de vingt vampires teigneux et rompus aux arts de la torture, du pistage, de la discrétion et de diverses armes de l’espionner. Il apprit qu’elle tenait à Darius, dont elle avait conservé l’épée magique. D’après ses espions, elle était faible. Suivant les conseils de Bélial, il la condamna donc à mort, lançant trois de ses disciples jusqu’au Domaine de la Lune d’Argent pour la tuer. Aucun d’entre eux ne revint jamais. Les raids qu’il menait devinrent cependant nettement plus risqués pour moins de résultats : deux autres vampires tombèrent au champ d’honneur. Furieux, Vultsi considérait Leodys d’un autre œil : elle était rusée. Voulant sa mort plus que tout autre chose, il demanda conseils auprès de Bélial, qui lui suggéra de la frapper à l’âme puis au corps. Vultsi comprit qu’il fallait détruire ce qui lui était cher : il lança une attaque contre l’endroit où reposait le cadavre de Darius. Avec Bélial et ses deux meilleurs apprentis, il massacra la garde lycanthrope puis dévasta le tombeau, brûlant le corps et fracturant les os. Il conserva sur lui une vertèbre et deux doigts de l’ancien seigneur loup-garou, espérant provoquer la fureur de Leodys. Hélas, une sentinelle survécut à ses blessures…


… Et put alerter Leodys et dénoncer les profanateurs de la tombe avant de mourir. Bien qu’extrêmement furieuse, la jeune cheftaine parvint à garder la tête froide pour venger Darius une seconde fois : les espions du Bestial crurent à une folie meurtrière, parfaitement simulée. Multipliant ce type de sacrilèges, Vultsi fut l’objet de tentative d’assassinats plus habiles les uns que les autres –et y survécut à tous. La haine entre celle que l’on nommait Leodys la et Vultsi le Bestial était palpable dans les Terres Vampiriques et Lycanthropes. Un soir, après un neuvième attentat manqué, le Bestial déclara :

-La menace de ces chiens se raffermit de jour en jour. Leodys, que vous semblez respecter, n’est qu’une vermine que les Seigneurs Vampires doivent absolument écraser, et enterrer. Ce soir, je jure que cette pleine lune verra son sang couler, et sa tête rouler sur le sol !

Sur ces propos peu pacificateurs, Vultsi entraîna les quinze vampires survivants qu’il lui restait –les autres étant morts dans les pièges que Leodys lui tissait- vers un ultime combat. Déterminés à tuer la lycane, seize vampires
aguerris quittèrent les Montagnes du Voldo pour la Forêt des Ombres. Ils reprirent forme humaine directement dans le Domaine de la Lune d’Argent, et tuèrent les gardes présents…
Et ils découvrirent le piège le plus risqué que Leodys leur ait jamais tendu : une marée lycanthrope se dirigeait vers eux, sabres tirés au clair ; Leodys, à portée de tir des archers vampires, était à leur merci, mais au final Vultsi perdrait la bataille. Il décida cependant, au nom de son peuple, de se sacrifier : les assassins se battirent comme des lions, ayant le terrain à leur avantage. Mais ils moururent les uns après les autres, même Bélial, tué d’un coup de lance au cœur par Leodys elle-même. Après un long duel entre le Bestial et la Sage, cette dernière blessa Vultsi, manquant de lui trouer l’œil gauche. Lui, il parvint à planter un doigt de sa Griffe droite dans son bras droit, l’argent la brûlant. Bien que les blessures fussent sévères, elles n’étaient pas handicapantes, pour Vultsi comme pour la lycanthrope. Vultsi fut chassé du territoire lycanthrope à coup de lances et de flèches qui faillirent le tuer. Il survécut miraculeusement, la haine au cœur, et fut ramené dans le Manoir Havanna, son propre domaine des Montagnes du Voldo ayant été brûlé par les sbires de la cheftaine.

Désormais, il ne chérit rien de plus que le souvenir de la pointe d’argent s’enfonçant dans le la chair maudite de son ennemie, qu’il jura de tuer un jour prochain… Leodys l’avait privé de son père et de ses amis, et lui avait infligé une défaite cuisante qu’il n’oublierait pas de sitôt.


Hors-Jeu:

Prénom: je m’appelle [censuré].
Age 14 ans
Depuis combien de temps faîtes-vous du Rp ?: environ 2 ans de qualité supérieure aux « 2 lignes et pis basta »
Serez-vous actif ?: oui, sauf si les profs confondent les définitions des mots « élève » et « cheval de trait».
Comment avez-vous connu le forum ?: Vous ne m’avez pas reconnu ? (déjà inscrit)

faux

try again!

Re-bienvenue Mr. boite de conserve

Re Welc'home Mr. Jefaisunmonologuesurlaboxà22h30

AAAAAAARGH dénoncé ^^

Merci Leodys, j'ai eu un doute pour le sacrilège commis à l'encontre du tombeau de ton père adoptif: je me demandais si les loups-garous enterraient leurs morts... Vous n'êtes pas des sauvages, certes, mais on aurait pu penser que votre communion avec la nature s'étendait au-delà de la fin de vie!
Au fait, la garde était en sous nombre et les vampires de la bande de mon perso s'entraînaient uniquement pour ce genre de mission: des frappes éclair efficaces, meurtre de la cible, fuite.

J'imagine que le lèche-bottisme a eu un rôle déterminant pour mon admission au club des vampires?

Merci en tous cas!
Au passage, j'ai remarqué que Leodys et Khaine ont plus ou moins fait mention à ma personne dans le sujet "le mal a quelque chose d'attirant?" Souhaitez-vous que je reste à l'écart, ou puis-je m'incruster dans le sujet afin d'exprimer mon opinion sur l'alliance entre l'ennemie à qui je souhaite faire sauter la tête des épaules et ma "déesse"?

J'ai vu que l'ordre de postage était ainsi: Isabella, Leodys, Khaine, (Elio) Moriarty, et Tsukiko papillon . J'attends donc le tour de celle-ci pour ne pas bousculer l'ordre des choses... Cela fera donc: Isabella, Leodys, Khaine, (Elio) Moriarty, Tsukiko Chou et Vultsi Kunègos.