L'humeur du jour (Ordre de passage= Inata, Quentin, Nazregoth, Néro, keyra)

J'espère pas avoir fais de bêtises, j'ai lu en diagonal vos RP mais bon... Si vous voulez que je change quelque chose, n'hésitez pas

Étrange journée que celle qui c’était déroulée cette fois là. Bon nombre des « puissants » de ce monde c’étaient réunis afin de discuter alliance et diplomatie, et finissais par tout simplement se crêper le chignon comme des chiffonniers Le plus ennuyeux dans tout cela, c’est que Inata, Reine du royaume de Ciris, était de ceux-là. Les insultes fusaient dans le palais royal ce jour-là. Bien que présent, Néro se contentait d’observer, tapis dans l’ombre, ce qui se déroulait sous ses yeux. Il pus ainsi voir sa chère Reine commettre une énorme faute avant de quitter les lieux, trop affaiblie physiquement pour continuer cette « entrevue ». Toujours est-il qu’en l’absence du souverain, les sujets du royaume de Ciris semblaient prendre plaisir à déshonorer leur patrie, et plus particulièrement le religieux Aramis. Bien que n’ayant aucune envie de participer à ses festivités, Néro se devait à présent d’intervenir pour préserver les alliances fraîchement conclue et protéger sa nation. Après les paroles de l’intrépide prince, il daigna enfin se montré et sortit de l’ombre. D’un pas lent, mais au combien assuré, il se dirigea lentement vers la table.
La prestance d’un Roi, le physique du plus beau des Princes, les yeux du plus puissant Démon, comment ne pas remarquer l’illustre personnage qu’était le Grand Conseiller Dananger. Alors que le Prince FitzKillian s’apprêtait à quitter les lieux, il prit la parole. Toutefois, bien que s’adressant à lui, son regard était porté sur le Religieux, Aramis, qui avait dépassé les bornes celon lui :

« Vous pouvez rester Sieur FitzKillian. Aramis et son insolence inacceptable s’apprêtait à retournée à leurs affaires religieuses. »

Le regard de Néro se durcit légèrement, montrant à la personne qu’il fixait qu’il ne valait mieux pas pour lui qu’il le contredise. Après être resté ainsi quelques secondes, il fit volte face et se dirigea vers la Reine des Démons.
Bien sur à l’époque, Néro ne se doutait de rien sur elle. Quoique, l’on peut dire qu’il avait quelques soupçons. Non pas qu’il la soupçonnait d’être une démone, mais seulement qu’elle n’était pas ce qu’elle voulait bien faire croire : une gentille petite Reine d’un gentil petit royaume. Comment savait-il cela ? Eh bien en fait, tout cela résulte de ces quelques gestes anodins qu’il s’apprêtait à effectuer.

Afin de se présenter à elle, il s’inclina légèrement et voulu prendre sa main afin d’effectuer un simple baise main en guise de respect. C’est à se moment précis qu’il se passa une chose à laquelle notre charmant Héros ne s’attendait absolument pas. Alors que d’ordinaire il ne pouvait la sentir que la nuit, cette fois là malgré le soleil radieux qui illuminait Ciris, il la distingua parfaitement. Ces Ténèbres enfoui au fond du cœur de cette femme… était tout sauf ceux que possède une simple Reine. Même Inata… même lui était pur à coté d’elle. La jeune femme du d’ailleurs voir qu’une chose inhabituelle se passait, tant Néro jusqu’alors si prévenant et sur de lui paru déstabilisé voir figé. Son regard se fixa, ses yeux s’ouvrirent pour ne plus bouger. Ses pupilles étaient alors entièrement visibles : deux boules de feu fixant la main des Ténèbres en personne. Malgré l’étrange sentiment qu’il ressentait auprès de cette femme, il s’empressa de changer d’attitude pour ne pas la choquer et reprendre là où il c’était arrêté. Après lui avoir délicatement baisé la main, il s’abaissa légèrement et lui dit d’un ton très calme mais néanmoins très assuré :

« C’est un honneur pour moi Dame Nazregoth. Je vous pris d’excuser l’agressivité de Sa Majesté Inata, mais elle a été particulièrement affaiblie par son combat et a préféré assurer cette rencontre malgré mes recommandations…»

En se relevant, il tourna légèrement la tête vers l’endroit où se trouvait il y a peu le prêtre Aramis, sans toutefois prendre la peine de s’assurer de son départ…

Keyra se rendit compte que sa présence était absolument inutile à présent et que le souper venait de prendre fin. La reine Argannienne qui plus tôt feignait le je-m'en-foutisme était maintennat rendue blasée par la tournure de la conversation qui avait terminée comme ça à cause de ses propos et ses habitudes manquant totalement à l'étiquette. Keyra, qui avait été habituée de ne ressentir aucun opinion sur les gens de royauté étrangère, aurait pourtant voulu en ce moment précis tuer le gardien qui accompagnait la reine d'un seul coup en lui plantant le couteau, sous ses yeux depuis tout ce temps, en plein entre ses deux yeux. Quoi que souvent, la seule personne qui la remarquait était Aramis, elle pourraît prendre avantage sur le fait qu'elle était déjà sans même l,avoir voulue oubliée par les gens présents dans la pièce. Elle qui était maintenant assise, tendit la main vers le couteau (qui était, je le rappelle, planté dans un jambon) et disparut sous les yeux de tous (dissimulation).

Je devrais montrer à cette Nazregoth ce dont les élus de Ciris sont capables.pensa-t-elle. Nous ne sommes pas tous aussi puissants que la reine Inata, mais nous avons tous un attachement particulier envers notre patrie et notre peuple. Personne ne devrait avoir le droit de bafouer notre nom, notre culture et encore moins notre reine!

L'homme à la tunique rouge resta de marbre devant la réplique de la reine. Il prit alors un morceau de pain et le rompis lentement un sourire en coin. Naz avait très mal calculé son insulte, parce que décidément, elle semblait vouloir faire fuir tout le monde.

-Mais dite moi... dame, vous n'étiez pas venu pour formé une alliance à ce qu'on ma raconté. Il sera bien dommage que cette dite rencontre ait bafoué toutes vos chances de réellement devenir un peuple allier avec celui des humains.

Aramis entendit alors les dire de Néro et retourna lentement sa tête avec méprit vers l'adjoint d'Inata qui semblait avoir fait un entré remarqué dans la pièce. Dans son visage passait des sentiments bien plus fort que la frustration, mais un envie de se débarrassé du prétentieux. Comment osait-on ne pas avoir respect envers le maître de la religion ici bas, insulte très néfaste envers l'homme choisit par Ciris. Comment Inata avait fait pour prendre un adjoint telle que cet homme noir et sombre. Que très rarement on entendait parlé de lui, mais Inata elle, semblait lui parlé assez souvent. Il était la barrière entre Aramis et Inata, celle que bientôt, l'homme le religion tenterait de brisé pour obtenir ce qu'il désire. Que pouvait-il faire dans cette situation? Il se leva sans dire un mot et chercha Keyra des yeux mais elle semblait ne plus être de la fête. Il porta alors sa mains à sa barbichette et tourna sa tête vers la reine de Argagian.

-Bon séjour...

Le ton qu'il employait était assez déplaisant mais dans le fond de lui même, être courtois avec cette prétencieuse était le seul moyen de vraiment l'insulté dans la situation actuel. Il ne devait pas faire de l'ombre à la reine et n'était pas celui qui prenait les décisions non plus. Aramis se dirigea alors vers la sortie saluant de la tête ses nombreux allier qui se trouvait dans la salle prouvant qu'il avait une forte influence sur le royaume.

ailleurs

(J'ai écrit dans le titre l'ordre de passage parce qu'on été beaucoup dans le Rp... Je vous demanderais de gardé cette ordre donc il serait à Quentin de répondre au Rp car il n'a pas encore quitter la pièce)

(en fait, personne n'a récemment adressé la parole à Quentin alors que tout le monde ou presque a dirigé son attention sur Nazgeroth, alors je ne vois pas le problème. En plus, remonte les posts: si je poste à nouveau, j'aurai fait deux messages avant Nazgeroth. Alors je "passe mon tour" pour le moment. Quentin est dehors avec son arme à la ceinture, Naz n'a pas dit encore si elle l'avait suivi ou non, alors je ne peux pas continuer.)

[Désolé j'avais perdu l'internet. ^^]

Nazregoth se relève en regardant Quentin fitzKillian, toujours avec son sourir niait, et lui répond prenant un ton de jeune femme douce pour détendre l'atmosphère.

- Allons allons, votre présence, qu'elle soit bonne ou non, sera tout autant plus interessante et... oh!

Puis cet homme sombre s'approcha d'elle pour lui prendre la main et la lui baiser. Elle ne réagissait aucunement mal, elle semblait charmée par cette attention et l'écouta attentivement.

Tout en ayant completement ignoré le prêtre, Nazregoth commencait à faire de même avec FitzKillian. Pas parce qu'elle l'avait oublié mais plutot parque Néro semble avoir volé toute son attention.

- Ah mais ne vous inquiétez pas. Cela fesait un moment que je voulais voir comment elle vit dans son royaume et voir quel genre de personne était dans son entourage. À ce que je vois, elle est bien accompagné, sauf pour quelques exeptions.

La Reine Arganianne portait une jolie robe blanche, la même qu'elle portait à son arrivé dans le royaume.

Citation :: [En faite sa robe ressemble plus à ça. Cependant elle fait le tour des jambes contrairement à cette image.]

- Cependant j'aurais aimé quitter cet salle. Moi aussi j'aurait voulu voir ce colisée. J'en ai entendu parler et c'est un lieu que je n'ai pas pu visiter encore.

Elle tourne la tête vers son Garde du corp.

- Il a besoin de s'amuser un peu, d'ailleur. N'esce pas? En s'adressant à lui.

Le chevalier semblait occupé par son travail. Il était occuper à observe les femmes d'importances. C'est pourquoi il fut attirer par Keyra lorsqu'elle pris un couteau. Il la regarda quelque secondes, puis, quand sa Reine lui parla, il tourna la tête et leva la main pour le mettre vis-à-vis le front, comme un salut militaire. Semblerait que Keyra ne lui soit d'aucune menace selon lui.

- Oui madame!

À ce moment, sa garde est completement baissée. Il ne semble pas très efficace pour un garde du corp royale.

La Reine remarqua le répart de FitzKillian et fit un froncement de sourcil...

- Zut! Se dit-elle.

La paix est une chose si dérisoire. C’est en ces temps que se préparent les êtres pour les guerres futures. Le passé, le présent et le futur ont tout trois cette chose en commun : la guerre, les batailles incessante de guerriers, le fracas des épées, les cadavres chutant un par un, les boucliers se brisant sous la puissance des coups. Tant de haine, de destruction, assouvi en ces moments de barbaries intenses. En ces temps ténébreux, l’Histoire s’apprête à vaciller comme jamais encore elle ne l’a fait. Ces quelques périodes de tranquillités sont dérisoires et dénués de sens. Fous sont ceux qui pensent que notre Histoire est celle des temps de paix : c’est dans la souffrance et la mort de la guerre que se forge les lointains souvenirs de notre ère. Qu’apporte la paix ? Que nous offre-t-elle ? De quelles offrandes la quiétude nous honore-t-elle ? Le néant. Voilà des années, des décennies qu’elle c’est installée sur nos terres, mais jamais encore elle n’a payé son dû. En chassant la guerre, elle ôta aux êtres de notre monde ce pourquoi ils sont fait, ce qu’ils méritent et ce à quoi ils aspirent : la gloire, la reconnaissance, l’immortalité des invincible guerriers et de leur Roi avide de pouvoirs. Mais qui crois-tu être, paix, pour t’installer ici et exiger de nous une reconnaissance ? Ton calme, ton harmonie, nous n’en voulons pas. Ce que nous voulons, ce que nous méritons, c’est l’immortalité guerrière !

Choses futiles qui s’apprêtaient à se dérouler aux yeux et pour le bons plaisirs des puissants de ce monde, mais choses auxquelles notre héros se devait de participer. La paix était fragile ces derniers temps, et Sa Majesté n’avait en aucune manière laissé penser qu’une guerre était souhaitable. A présent c’était à Néro de réparer les erreurs qu’avaient commises sa Reine et le Grand Prêtre pour ne pas nuire à la volonté de cette dernière. Toute l’attention des invités semblaient porter sur une éventuelle visite du colisée. Bien que cette idée ne satisfasse pas du tout le jeune Dananger, il n’avait d’autre choix que celui d’accepter docilement. Après avoir écouté la Reine Nazregoth, il ouvrit les grandes portes d’un grand coup pour laisser les rayons du soleil couchant pénétrer dans la pièece. Dos aux dernières personnes, alors que le Seigneur Fitzkillian se dirigeait lentement vers l’arène, il dit tout haut :

« Qu’il en soit ainsi. Je combattrais moi-même votre garde du corps Dame Nazregoth. Dans une heure dans l’arène. »

Sans même attendre une réponse, Néro se retourna et quitta la pièce par une porte dérobée. Sa direction était clair : ses appartements privés.

(keyra ne veut pas continuer?)

Keyra est absente depuis un bout de temps Wink

(OK dans ce cas Keyra a disparu de la vue de tous. Elle n'a pas fait "pouf!" invisible mais bien "Tien, elle n'est plus là?". Alors Inata n'est plus là, ni Quentin. Il ne reste plus que toi et moi je crois.)

Nazregoth quitta l'endroit pour se préparer au combat ou plutot, le combat de son garde.

La situation était rendue tout à fait inacceptable et c'est presqu'à la reine Nazregoth en personne que Keyra eut envie de s'en prendre... À la place, elle contourna lentement et précotionneusement la reine afin que cette dernière soit placée entre Keyra et son garde du corps et, avec le coutau effilé, elle prit un épi d'à peine 5 cheveux et les coupa d'un trait. Les forgerons royaux étaient dans les meilleurs du continent alors la coupure fut nette, sans tirer ni faire mal et comme cela n'était pas une action offensive, elle resta dissimulée par sa technique. Elle fit volte-face, contourna Nero, et quitta la pièce. Elle réapparut derrière Quentin en disant d'une voix basse pour ne pas être entendue à l'intérieur de la pièece

- Si vous voulez une vraie conversation, et non une querelle enfantine de reine en manque d'adrénaline, nous continueront donc ce repas du soir dans l'antichambre de mes appartements. Rien ne vous oblige à rien...

Elle continua son chemin, s'éloingnant ainsi de la source de son énervement, pourtant si bien contrôlé, avec ce qu'elle croyait être le dévolu de Naz'.

Quite vers https://journal-dosura.1fr1.net/le-palais-royal-f29/l-antichambre-des-appartements-de-keyra-t235.htm#4271

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